les universaliensles artistesunivers sensoriels
organistateurscommunauté caqapartenaireslieucontact
haut
titre la nuit des arts
Huertas Lorena
 

 

Lorena peint dessine et sculpte.

Elle recherche des mécènes. Contactez-nous pour plus d'infos.

 

 

Ma démarche plastique comporte deux pôles de recherche. Un pôle peinture et un pôle sculpture où je m’engage à travers des représentations animalières. Ce mode de représentation me permet d’exprimer toute une série de questionnements. Parmi les points de recherches, je peux en citer trois : la question de la bipolarité ou du dualisme dans le thème de la bestialité chez l’homme. Ensuite, le symbolisme animal et son rapport à la société et enfin le thème de l’autoportrait sous forme animale.

Je représente des animaux par un travail de la matière dans l’espace. Pour représenter le thème de l’animalité j’oscille entre la figuration et l’abstraction. À travers le travail de la matière, j’essaye de ne pas tomber dans la pure abstraction. J’utilise toute l’énergie présente dans la matière que je transforme en plasticité, pour transmettre le symbolisme animal, et la relation matière-espace me permet de garder une connexion à la Nature.

Je porte aussi attention de ne pas tomber dans le purement décorative avec mes représentations animalières. J’observe les animaux comme des êtres appartenant à la Nature et particulièrement propices pour répondre à mes propres questionnements. Le résultat est une métaphore plastique,
qui prend le nom de sculpture ou de peinture.

Mon travail plastique est d’ordre symbolique. En effet, les animaux ne sont-ils pas un reflet des gens et de la société ? L’engagement, dans mon travail plastique au niveau pictural, matérialiste et spatial m’a poussé à un engagement social et culturel. Les peintures et les sculptures que je propose sont donc des expérimentations et des recherches. Autrement dit, ce sont des expériences plastiques. Je considère que faire de la peinture et de la sculpture est sans cesse un travail de recherche. Picasso
l’a affirmé une fois : ce n’est pas le mot « chercher » qui compte, c’est « trouver ».

Lorena HUERTAS

 
bas